vendredi 30 mars 2018

La voiture électrique sera plus accessible pour tout le monde en 2025


La voiture électrique est actuellement une révolution pour le mode de déplacement et de transport. Elle a premièrement l’avantage de ne pas émettre de gaz et particules nocives polluants comme le CO2, le NOx, etc. Ces derniers sont particulièrement très dangereux pour la santé humaine, animale et végétale.
Ce type de voiture est donc très utile dans les grandes villes à forte densité de population. Cependant, il faut savoir que la voiture électrique rejette quand même une quantité négligeable de particules, provenant des freins et des pneus. De là, on peut déduire que la voiture électrique est incontournable pour lutter contre la pollution de l’air dans les villes.  À part la lutte contre la pollution de l’air, la voiture électrique a aussi l’avantage de lutte contre la pollution sonore ou nuisance sonore !
Production écologique
Pour alimenter la voiture électrique, il faut absolument une source d’énergie pour produire du courant ! Cela va de soi, et c’est là qu’il faut faire attention, car, il ne faut pas faire un trou pour boucher un autre. Cela veut dire qu’on ne devrait pas produire de l’électricité à partir de source carburant thermique et encore moins à partir de l’énergie nucléaire. Le premier utilise de l’huile lourde, du diesel et de l’essence, le dernier nécessite le traitement des déchets nucléaires, hautement dangereux pour l’environnement, sans compter les risques d’accident, genre Tchernobyl et Fukushima. On doit donc utiliser des sources d'énergie propres comme l’éolienne, l'énergie solaire pour produire du courant pour alimenter cette voiture. 
Plus accessible en 2025
D’après ces nombreux avantages, les demandes ont donc augmenté et, de ce fait, le cout des batteries de ces voitures ont baissé.
D’après une étude, menée aux USA, le prix de la voiture électrique sera plus accessible au public par rapport à la voiture diesel ou essence en 2025.
Facteurs de développement
 La grande majorité des pays encourage les constructeurs à développer la voiture électrique. On voit cela à partir des avantages fiscaux, l’incitation des clients à acheter ce type de voiture. Tout cela contribue à faire baisse le coût de production et du prix du véhicule. Ce qui a pour effet d’attirer l’intérêt du public, et c'est pourquoi, la voiture électrique sera moins chère que la voiture diesel ou voiture essence.
Pour être au courant de notre dernier article sachez qu'on a parlé de ce que vous risque  si vous laissez sciemment quelqu'un conduire alors qu'il est ivre.

mardi 20 mars 2018

Laisser sciemment quelqu’un conduire une voiture alors qu’il est ivre : vous risquez gros


Voici un exemple typique de ce que vous risquez si vous laissez quelqu’un sciemment conduire une voiture alors qu’il est ivre. Cela s’est passé au Tribunal de Montpellier qui a condamné l’ami d’un conducteur ivre à six mois de prison fermes.
À première vue, la condamnation est absurde parce que ce n’était pas cet ami qui a conduit la voiture, même si celle-ci a provoqué un accident, causant la mort d’une étudiante.
Mais cette condamnation est une première, en ce sens que la responsabilité de l’ami en question est prouvée dans l’affaire. Notons que la loi de la responsabilité des proches des conducteurs ivres n’est pas nouvelle, c’est seulement la condamnation qui est nouvelle.
Dans cette affaire ou dans les autres cas semblables, il n’est pas question de condamner tous les proches du conducteur. On cherche seulement à déterminer la responsabilité de celui qui était avec lui avant ou pendant l’accident.
En claire, il s’agit de déterminer si celui qui était avec le conducteur, avant ou pendant l’accident, l’a laissé faire, sachant qu’il n’est pas en état de conduire. Il se pourrait même que ce soit l’ami qui a fait boire le conducteur avant qu’il prenne le volant.
C’est à partir de son degré de responsabilité que le tribunal condamne la personne qui était avec le conducteur avec l'alcool au volant . En cas de responsabilité avérée, cela équivaudrait à un complice de crime d’homicide involontaire.
Dans ce cas, la loi stipule que : « les personnes physiques qui n’ont pas causé directement le dommage, mais qui ont créé ou contribué à créer la situation qui a permis la réalisation de dommage ou qui n’ont pas pris les mesures permettant de l’éviter, sont responsables pénalement s’il est établi qu’elles ont, soit violé de façon manifestement délibérée une obligation particulière de prudence ou de sécurité prévue par la loi ou le règlement, soit commis une faute caractérisée et qui exposait autrui à un risque d’une particulière gravité qu’elle ne pouvait ignorer »
Voilà pour la conduite d'une voiture normale mais, on n'ose pas imaginer ce qui se passerait si c'était une voiture volante dont parlait notre dernier article et que le conducteur-pilote est en état d'ébriété..

jeudi 8 mars 2018

La voiture volante est présentée au salon de Genève 2018


Qui n’a jamais souhaité voir sa voiture prendre son envol lors des heures de pointe ou des embouteillages ?  Vous savez  bien qu’on a tendance à s’énerver pendant ces moments-là. Et lors des prises de bec entre les usagers de la route, certains ont cette expression à la bouche : « fait voler ta voiture si tu es pressé ». Eh bien, ils ne croient pas si bien dire, car maintenant, la voiture volante existe réellement.
Pour le grand public, ce concept est pour le moins urgent, au vu des problèmes quotidiens qu’ils subissent sur la route. Or pour les constructeurs ou plutôt les ingénieurs-concepteurs,  il faudrait encore patienter, car il y a un problème de taille à résoudre.
Comme nous le disions, la voiture volante est maintenant une réalité. En effet, le constructeur hollandais Pal-V a présenté au salon de Genève une voiture qui vole en version complète (par opposition à la version d’essai !). Mais le problème auquel nous avons fait allusion : elle n’est pas autorisée à circuler sur la voie publique.
Voilà donc une autre alternative pour résoudre le problème du transport dans la future. En effet, nous n’avions pas encore cherché une issue dans la voie aérienne quand la voie terrestre est complètement saturée ! Et il faut admettre qu’aucun constructeur, avant Pal-V, n’a pensé à la production commerciale de cette voiture volante.
Ce sont les  nombreux problèmes techniques et psychologiques qui ont retardé le développement de ce type de voiture. Malgré tout,  Pal-IV a voulu accélérer les choses en présentant son modèle au salon de Genève. Seulement, « la Tour de contrôle » ne lui a pas encore donné, son autorisation de rouler sur les longues pistes que sont nos routes !

jeudi 1 mars 2018

PSA et Hexagon : Le projet de voiture électrique avec Québec est annulé par ce dernier


Le Groupe PSA et Hexagon avaient formé un projet de fabrication de composants pour les voitures électriques au Québec. Ce projet était formé avec la collaboration de deux partenaires canadiens.
En ce qui concerne la voiture électrique, les constructeurs ont fort à faire vers le développement de ce type de véhicules du futur. Ces constructeurs sont en effet les plus concernés par ce projet. Ils doivent donc être plus actifs en apportant leurs propres conceptions, leurs propres matériels et non pas être de simples  assembleurs.
C’est le Premier ministre québécois, M. Philippe Couillard  qui a annoncé  le 7 février 2018 la rupture de partenariat de PSA, Hexagon avec Arion Technologies Automobiles. Le Premier ministre a déclaré que ce projet de partenariat formé en mars 2016 n’était pas rentable et c’est la raison de cette rupture ou annulation de partenariat.
Ce projet de développement de la voiture électrique par la coopération PSA et Hexagon avec des sociétés canadiennes a été formé en 2016. Son but est de fabriquer des composants de voitures électriques comme les moteurs. La partie canadienne va engager la somme de 16 000 000 €,  dont 6 millions d’euros en prêt et 10 millions d’euros en capitale. La part de PSA consistait en apport de son expertise pour l’intégration de ces composants dans la voiture électrique. Après, PSA s’occuperait de sa commercialisation mondiale et le projet a beaucoup ravi le Premier ministre, M. Philippe Couillard au début. Il pensait que cela créerait des emplois supplémentaires dans le pays, concernant surtout la voiture électrique qui n’est qu’au début de son avènement.
Mais voilà que deux ans après, c’est tout à fait le contraire, il trouve que le projet n’est pas rentable et il est préférable de l’annuler. Il a pourtant fait comme objectif de mettre 100 000 voitures électriques en circulation sur les rues de sa province en 2020. Or on n’en trouve que 24 000 actuellement.
Mais avec l’annulation de ce projet, un autre problème se pointe aussi : il s’agit de la dépense occasionnée par l’étude de faisabilité et qui a coûté la bagatelle de 14 millions de dollars aux contribuables. Pour calmer ces derniers, le ministre de l’Économie a affirmé qu’il est plus rentable d’arrêter le projet au lieu de subir une énorme perte qui dépasserait largement les 14 millions de dollars déjà investi dans l’étude de faisabilité.
N'oubliez pas de suivre nos articles dans ce blog, le dernier parle de la victoire des opposants à la piétonisation des voies sur les berges rive droite de la Seine.